Mourir peut attendre : des adieux explosifs pour Daniel Craig en James Bond

Ainsi s’achève l’ère Daniel Craig. Après Casino Royale, Quantum of Solace, Skyfall et Spectre, c’est aussi pour nous une page qui se tourne avec No Time To Die (Mourir peut attendre, seul opus ayant une traduction française). Et le moins que l’on puisse dire c’est que cette série de cinq films nous aura malmené, entre du mauvais et du sublime.

On aurait adoré que No Time To Die soit l’apothéose, la cherry on the cake de cette saga portée par Craig. Mais il s’agit plutôt d’un film correct, bon sans être exceptionnel, qui ne déçoit pas sans pour autant transporter le spectateur.

À qui / à quoi la faute alors ? Pas à l’acteur principal c’est certain. Il aura démontré une constance remarquable au fil de son aventure. Peut-être à Rami Malek, et sa platitude dans un rôle vengeur finalement assez peu crédible. Tout comme Léa Seydoux, certes convaincante, mais pas transcendante.

Du côté du MI6 rien à redire. Sur l’action, non plus, rien à dire. C’est quand on prend un peu de hauteur ou de recul, que l’on ressent la baisse d’intensité dans cet ultime épisode. Pas catastrophique, juste un peu décevante. On aurait tellement aimé une apothéose… on se contentera d’un sympathique goodbye. Et merci pour tout, Daniel Craig.

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