Gorillaz – Plastic Beach

Il paraît, que c’est à force d’écouter Plastic Beach que l’on finit par l’apprécier. C’est donc après beaucoup, beaucoup d’écoutes du dernier Gorillaz que je suis en mesure de vous dire que je ne l’aime pas.

Fort heureusement, le point positif de Plastic Beach est qu’il ne s’agit pas d’un simple recueil de « featuring » (plus ou moins prestigieux, mais surtout nombreux). Le problème vient finalement du contenu. Tout a beau y être, mes déceptions consistent essentiellement en deux points : un virage trop hip-hop, et un éclectisme déroutant. Il n’y a pas vraiment de cohérence à l’album, le meilleur exemple étant probablement l’enchaînement étourdissant Stylo > Superfast Jellyfish > Empire Ants > Glitter Freeze.

Et c’est bien qu’intervient la contradiction : quand Stylo est sorti (avant l’album) je la trouvais faible. Après l’écoute de Plastic Beach, je trouve qu’il s’agit d’une des meilleures pistes. Difficile de ne pas conclure autrement que par une déception, au niveau général.

Dommage, quand on connaît mon admiration pour Damon Albarn. Gorillaz est l’un de ses projets pour lesquels j’aurais décroché. The Good, The Bad and The Queen sont saufs.

2.5 / 5
À lire aussi ⬇️

Devenez contributeurs/rices. 👊

Rejoignez un magazine libre et respecté. Depuis 2004, Onlike recense pas moins de 46 contributeurs indépendants dans ses colonnes,

en savoir plus
NEXT ⬇️ show must go on