The Popopopops et la scène, c’est une histoire qui roule. Le jeune groupe rennais n’a jamais raté une seule de ses prestations (et on commence à en connaître pas mal). Celle du 28 mars au Divan du Monde avait une saveur particulière : celle de la célébration, pour fêter la sortie du premier album Swell, et une carrière qui prend son envol depuis la signature avec le jeune label ZRP.
Et durant son set d’une heure, le groupe n’a rien lâché, comme on pouvait s’y attendre. Petite salle amicale, public enthousiaste, les ingrédients étaient réunis pour un concert au fort capital sympathie. Et témoignent les différents essais transformés du chanteur-clavier à l’engouement inébranlable, qui réussissait même à faire asseoir l’ensemble du public pour mieux le relever comme un seul homme à son appel.
Évidemment tous les morceaux les plus attendus y sont passés, des singles (l’imparable Pure) à My Mind Is Old, sans parler du rappel constitué de Color et Hypnotize Me. 2013 est incontestablement l’année de The Popopopops, et ce n’est sûrement pas la dernière.
PS : Oui, la chronique de Swell arrive dans la foulée. Dites donc, vous en êtes des gens exigeants.
PS2 : si tu n’as pas encore vu la session acoustique de The Popopopops par Onlike, on est en train de te localiser pour venir te casser les genoux et tu feras moins le malin au prochain concert du groupe quand tu ne pourras plus te relever. La session est ICI.
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