C’est le grand retour de John McClane et de son Noël pourri. Cette fois il ne le passe plus à Los Angeles mais à l’aéroport de Washington. On retrouve donc John, Holly, le journaliste Richard, et même l’agent Al Powell. Bien sûr, les terroristes (mercenaires) sont également de la partie, ceux-ci veulent intercepter l’avion du général Ramon Esperanza, baron de la drogue et accessoirement dictateur, pour le libérer. Afin de parvenir à leur dessein, ils prennent le contrôle des communications de l’aéroport et menacent de faire s’écraser l’ensemble des avions actuellement en vol. Sans compter que certains n’ont plus tellement de carburant.
Die Hard fait figure de référence dans le cinéma d’action, et 58 Minutes pour Vivre ne fait pas exception. Mais… ce n’est pas vraiment pareil. John McTiernan n’est pas derrière la caméra (mais Renny Harlin, qui est plus connu pour Cliffhanger qu’il réalisera 3 ans après), et le rythme en prend un peu un coup, souffrant d’irrégularités. William Sadler n’est pas non plus au même niveau qu’Alan Rickman en chef des terroristes. Seul Bruce Willis, évidemment, reste impeccable.
Un volet légèrement en-dessous de son prédécesseur mais — bonne nouvelle — également de ses successeurs.
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