ALEX OF VENICE, c’est une jeune maman à la croisée des chemins. Sur la côte ouest américaine, elle se bat entre le départ de son mari, la maladie de son père et ses dossiers défendant l’écologie locale.
Conte moderne censé donner de l’espoir sur un quotidien un peu trop pessimiste, ALEX OF VENICE offre à la jeune garde hollywoodienne (Chris Messina, Mary Elizabeth Winstead…) une partition à laquelle on est malheureusement un peu trop habituée. Surtout si on se rappelle le trop récent WISH I WAS HERE, même histoire avec plus de folie douce. Bien que le traitement ne soit pas foncièrement raté, ce joli emballage à la sauce indé’ ne mène pas très loin.
Au final, hormis les jolies couleurs et la sympathie du casting, on retiendra la participation d’un Don Johnson qui se bonifie avec l’âge. Ses quelques scènes semblent bien plus marquantes, en grand père acteur atteint d’Alzheimer. Un rôle touchant et juste, qui semble contrebalancer l’aspect artificiel du reste.
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