A trop en faire, on attendait LE Franck Dubosc au cinéma. Et on l’a eu. Pour une surprise en demi teinte, ce petit rigolo a dépassé la simple blague pour écrire un vrai scénario, avec des moments moins drôles et des semi-vérités. En clair, Camping ne fait pas rire aux éclats comme le spectacle. On en serait déçu mais pas totalement, car les personnages sont touchants. Reste un postulat de départ terriblement simple pour le film : venez vivre la saison estivale au camping des Flots Bleus, avec ses habitués, ses victimes, ses drames et ses rires. Bref, une micro-société propice aux clichés.
On ressort en ayant redécouvert le Dubosc (co-scénariste). Pas le réalisateur Onteniente (3 Zéros, Jet Set…), amorphe…
2 / 5