Le 51e Etat

Je n’ai pas été très convaincu par ce film (quasi-entièrement britannique) où Samuel L. Jackson cabotine comme dealer écossais en kilt tandis que Robert Carlyle est obsédé par le match de foot Liverpool-Manchester.

On peut y rajouter une réalisation d’une banalité affligeante (par Ronny Yu… qui jongle entre films asiatiques et films d’horreurs de seconde zone : La Fiancée de Chucky, Freddy vs Jason), et des éléments grotesques comme un super laxatif ou même l’explosion d’un corps humain de l’intérieur après avoir bu un cocktail-maison.

Je passe sur les petits clins d’oeil inintéressants comme le plan où Samuel L. Jackson joue au golf nu, ou les phrases à la fin du film du genre « machin et machine s’installèrent ensemble » alors qu’on s’en fout puisque ce sont des personnage de fiction. Non vraiment, je m’attendais à mieux.

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