Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé

« Ah oui c’est vrai, c’est dans ce tome-là qu’il ne se passe rien… »

Le sixième volet des aventures de Harry Potter au cinéma souffre en effet du manque d’action présent dans le livre. Le film ne vaut que pour ses vingt dernières minutes, de très grande qualité, pour lesquelles il aura cependant fallu patienter pendant deux heures.

Plus de paroles, plus d’humour et surtout plus de romance (avec notamment la détestable Lavande Brown), et donc moins de magie (sauf les potions), moins de combats, moins de dynamisme au final. Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé est là pour nous présenter les Horcruxes ainsi que le personnage d’Horace Slughorn, ce très vieil ami d’Albus Dumbledore.

On peut facilement considérer Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé comme une transition, une introduction de la fin de la saga, qui elle promet d’être très riche (on le sait déjà avec le septième tome, adapté en deux films). Ce sera également le moment de tourner une page du cinéma, car on ne peut sous-estimer l’importance de la saga Harry Potter, un peu comme celle de la trilogie du Seigneur des Anneaux.

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