En bon mari, Nicolas Cage veut venger l’agression (par un récidiviste) de sa femme d’une manière plus rapide que la justice ne le ferait. Il passe donc un pacte avec une mystérieuse organisation qui lui propose de régler le problème en l’échange d’une faveur ultérieure. Il ignore alors qu’il vient de mettre le doigt (voire la main, voire le bras, voire le corps tout entier) dans un engrenage mafieux qui va le poursuivre au quotidien.
Je l’ai bien résumé et à vrai dire sur le papier, c’est alléchant. J’étais comme vous. Et puis finalement Le Pacte n’est rien d’autre qu’une nouvelle tentative pour raconter les pièges de la vengeance personnelle. Avec une bonne dose de prévisibilité tout le long du film, l’ennui guette quand la surprise est absente. Correct sans plus, Le Pacte n’offre aucun grand rôle à ses acteurs (comme toujours il faut se méfier des films avec Nicolas Cage, et maintenant Guy Pearce ?) ni ne bénéficie d’une réalisation qui sort du lot. Un niveau téléfilm, et c’est déjà bien.
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