Pas de surprise. Il y a bien un effet 2012. Un effet visuel bien sûr. Le grand spectacle est au rendez-vous, et oui, certaines scènes vous font retenir votre souffle. Problème : ces scènes ne sont pas assez nombreuses…
Et que se passe-t-il quand l’argument massue du film est moins présent à l’écran? On s’intéresse au scénario ! Et là c’est évidemment le drame. 2012 n’a pas été écrit, il a simplement été storyboardé rapidement dans le coin d’une nappe en papier. Pour faire simple : fin 2012, c’est la fin du monde, à cause des éruptions solaires qui vont provoquer un déplacement de l’écorce terrestre. Et hop, c’est emballé.
Emballés aussi, les personnages. On dessine rapidement une famille recomposée, enfin plutôt deux, et on regarde ce qui va survivre. Enfin logiquement personne, puisque c’est la fin du monde. Mais en fait si, parce que 2012, c’est subtil finalement… non je plaisante.
On n’a jamais été aussi proche de la définition de « film catastrophe » avec 2012. Vous y verrez le bon comme le mauvais.
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